Au printemps du Fischboedle
Derniers repères, dernière mémoire du long hiver des crêtes, la surface tourmentée des névés rappelle étrangement les bains d'écume d'un océan aux cadences figées. Sous ces longues et lourdes langues de neige qui ne rêvent pas de ciel bleu, les eaux vives du printemps improvisent des parcours riches de multiples sinuosités.
Rendez-vous versant ouest, en direction de la vallée de la Wormsa, pour respirer quelques moments privilégiés de pleine nature, aux abords du petit lac écrin du Fischboedle, même si le soleil boude en grande partie la rencontre…
Les névés de mai, entre le Kastelberg et le Hohneck.
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